Chez we#are, nous tentons d’utiliser l’inclusivité le plus souvent possible :
– dans nos plans marketing,
– dans nos publications,
– dans nos envois d’e-mails,
– dans notre communication en général.
Pourtant, l’appliquer à 100 % est difficile, pour nous, en communication et marketing car cela demande des réflexions et des questionnements supplémentaires…
🎯 Première problématique : la cible marketing.
La cible est une généralité des consommateurs principaux de nos client·e·s: client·e·s travaillent dans la beauté, la décoration ? La majorité sont des clientEs, on va stratégiquement parler aux femmes.
Notre client·e vend à des professionnels de la construction ? On va parler à des hommes.
Et ici, on ne cite que le questionnement lié au genre, l’inclusivité va bien plus loin.
La réalité du ciblage est pourtant très importante pour les PME afin d’établir une communication efficace.
Les grandes entreprises ont, grâce à leur notoriété déjà instaurée, plus de facilité à imposer l’inclusivité dans leur stratégie mais il y a aussi de nouvelles marques qui intègrent l’inclusivité dans leurs valeurs fondamentales.
Ce que nous faisons ?
Nos supports et actions stratégiques sont réfléchis en gardant la réalité des PME en tête (design, diffusions, …). Mais dans l’écriture, nous tentons de nous adresser à toutes et tous.
✍🏼Deuxième problématique, la compréhension.
L’écriture inclusive, par exemple, alourdit souvent la lecture et peut, quand on n’a pas l’habitude de la lire, perturber la compréhension du message.
D’un point de vue visuel, les stéréotypes facilitent la transmission du message en s’appuyant sur des généralités…
Alors que faire lors d’une campagne de communication ? Les PME ont besoin que le message passe rapidement, simplement et sans dépenser trop de budget dans les médias…
Sans compter qu’il existe bien d’autres problématiques et questionnements autour de l’inclusivité dans le marketing.
✅ Le positif ?
On est de plus en plus à vouloir être inclusif·ve·s. Les consommateurs et consommatrices y sont de plus en plus sensibilisé·e·s et le demandent, les marques s’adaptent.
Alors chez we#are, on continue à être imparfaitement inclusif·ve·s, on ouvre le débat et on se questionne.
Vous aussi, vous vous êtes déjà retrouvé·e·s confronté·e·s à ce questionnement ?
Pauline